Suite à un événement douloureux, de fortes angoisses, ou un mal-être profond et difficile à cerner, vous avez peut-être déjà ressenti le besoin de commencer, ou de reprendre, une psychothérapie.
La Gestalt-thérapie s’adresse tout particulièrement à des personnes :
- en souffrance psychique suite à un événement marquant comme, par exemple, un deuil, une séparation, un changement familial majeur.
En tant qu’être humain, nous avons parfois besoin d’être accompagnés pour avancer sur notre chemin de vie. - en difficulté relationnelle au travail ou dans le cadre personnel.
La Gestalt-thérapie est souvent nommée thérapie relationnelle, c’est à dire comme une thérapie de la relation par la relation. L’implication du thérapeute en cours de séance aide le patient à prendre conscience de sa façon de «relationner». - angoissées.
Les fortes angoisses peuvent être vécues comme un véritable «tsunami» intérieur. Les rendez-vous réguliers avec un thérapeute accueillant et bienveillant sont alors comme un phare en mer qui facilite la traversée de ces tempêtes émotionnelles. - en souffrance physique.
Parfois, à travers la maladie, les maux du corps appellent une mise en mots et l’approche holistique de la gestalt-thérapie permet alors de regarder la somatisation différemment. - qui sont dans une forme de répétition de situations douloureuses ou dangereuses.
A partir d’adaptations anciennes et figées, de cet ajustement conservateur existant, le travail thérapeutique peut aider la mise en place d’un ajustement créateur. - désirant faire un travail personnel de conscience sur leur façon d’être au monde.
Sans événement traumatisant majeur, la curiosité, un sentiment diffus d’insatisfaction, une recherche de sens peuvent également motiver la mise en place d’une psychothérapie.
A la lecture de ces lignes, peut-être aurez-vous juste besoin d’un temps de silence pour laisser cheminer en vous ces premiers éléments de réponse. Peut-être également seriez-vous intéressé d’en découvrir d’avantage, de faire un pas de plus en lisant la page Premiers pas.
« Le contact, c’est l’appréciation des différences. »
(Frederick Fritz Perls)